Il existe à ce jour un ensemble de pétitions contre le projet des LGV du Sud-Ouest, émanant de divers acteurs de la lutte ou élu.e.s et à destination de différents publics (citoyens, décideurs de l’Union Européenne, élu.e.s).
Voici donc la liste de ces liens à faire circuler au maximum.
Liste rapide :
- Pétition à l’UE (détails ici) | La requête pétition à l’Union Européenne, soutenue par une représentante des collectifs en lutte contre le GPSO, a été auditionnée par les commissaires de la Comission Pétition à Bruxelles le 23 octobre dernier. Moyennant une procédure détaillée dans un tutoriel, vous pouvez soutenir cette pétition (possible également directement via ce lien vers le site de la Commissions des Pétitions européennes).
- Appel d’Irun (détails ici) | L’appel d’Irun a été signé par les Maires de Bordeaux, Irun et Bayonne pour la modernisation des voies existantes (alternative au GPSO). Il est à signer ici. Plus de 500 signatures d’élu.e.s de tous bords et de toute la Région Nouvelle-Aquitaine au 1er janvier 2024.
- Pétition Alternative LGV (détails ici) | L’appel de AlternativeLGV pour une alternative au GPSO à signer ici.
- Pétition contre les LGV du Sud-Ouest (détails ici) | La pétition contre les LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, initiée par la mairie Bernos-Beaulac à signer ici. Plus de 1000 signatures au 1er janvier 2024.
- Pétition GreenVoice (détails ici) | La pétition GreenVoice contre la LGV Bordeaux-Toulouse : à signer ici. Plus de 5000 signatures (sur 6000 requises) au 1er janvier 2024.
- Appel du rail (détails ici) | L’appel du rail, pour la regénération du réseau ferroviaire (partagé ici en tant que alternative au GPSO) : à signer ici. Plus de 6000 signatures (sur 8000 requises) au 1er janvier 2024.
Les pétitions dans le détail :
Pétition à l’UE
La pétition à l’Union Européenne, initiée par le collectif Stop LGV Bordeaux Métropole Pour les Transports du quotidiens et soutenu par l’intercollectif LGV NON MERCI, a été auditionnée par les commissaires de la Comission Pétition à Bruxelles le 23 octobre 2023.
La vidéo de cette ‘soutenance’ est disponible ci-contre, avec les réactions des commissaires de l’UE prenant la parole ce jour-là.
Cette pétition a été complétée par des documents en réponse aux demandes des commissaires, qui ont décidé de la maintenir ouverte. Ainsi, vous pouvez soutenir cette pétition en suivant ce tutoriel ou directement via le lien suivant (en cliquant ici).
Pour partager ce lien, vous pouvez copier/coller ce lien raccourci dans vos réseaux : https://bit.ly/3vHt0VL.
Ajoutez votre titre ici
Résumé de la pétition
Les pétitionnaires dénoncent un projet de construction de deux nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse qui supposerait la construction d’environ 327 km de voies et de trois gares à ciel ouvert dans les régions d’Agen, de Montauban et de Mont-de-Marsan (France). Selon eux, ce projet irait à l’encontre des engagements de l’Union et de sa législation en matière de protection de la biodiversité, de réduction des risques climatiques et de protection de la qualité de l’eau. Les pétitionnaires expliquent que ce projet de construction traverserait et endommagerait gravement des habitats portant un intérêt pour l’Union européenne, en contrevenant ce faisant aux dispositions du droit de l’environnement de l’Union et aux engagements pris par cette dernière en faveur de la protection des forêts primaires et anciennes de l’Union, ainsi que de la flore et de la faune sauvages menacées. Les pétitionnaires soulignent qu’aucune étude d’impact sur la modification du microclimat de la zone dans laquelle ces nouvelles lignes devraient être exploitées n’a été réalisée. Les pétitionnaires affirment que ce projet porterait également atteinte à la bonne qualité des ressources en eau potable de la zone concernée ainsi qu’à la protection des aquifères de surface et souterrains, en violation des dispositions de la législation de l’Union y afférente, et que celui-ci serait incompatible avec les engagements de l’Union en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, de sobriété énergétique et de promotion de la séquestration naturelle du carbone. Les pétitionnaires expliquent que le projet fait l’objet de discussions depuis de nombreuses années et que les résultats d’une consultation publique ont démontré que seulement 363 contributions sur 14 011 (2,59 %) y étaient favorables. Les pétitionnaires indiquent que, malgré l’avis défavorable de la commission d’enquête publique de 2015, une déclaration d’utilité publique a été signée et que, après avoir été suspendu par l’État en 2017, le projet a finalement été relancé par le Gouvernement français en 2021. Les pétitionnaires soulignent que le projet, estimé à environ 14 milliards d’euros, a fait l’objet d’une demande de cofinancement auprès de l’Union européenne, laquelle a été rejetée en 2022. Les pétitionnaires demandent à la Commission européenne d’intervenir en vertu des principes de précaution et d'action préventive, qui font partie des piliers fondamentaux de la politique de l'Union dans le domaine de l’environnement sur fondement des dispositions de l'article 191 du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE). Ils appellent également à ce que le projet ne soit pas financé, étant donné qu’une véritable liaison transfrontalière pourrait être réalisée à moindre coût, en améliorant et en modernisant la ligne existante.
Appel d’Irun
L’appel d’Irun, initié par le CADE (collectif du Pays-Basque et Sud des Landes) a été signé par les Maires de Bordeaux, Irun et Bayonne pour la modernisation des voies existantes (alternative au GPSO), et proposé pour signature à tous les élus de la Région.
Il est à consulter ici et à signer ici.
Communiqué du CADE du 7 mars 2023 :
Au 07 mars 2023, cet appel a été signé par 461 élu.e.s.
Après les énormes manifestations de 2009 (4 manifestations de plus de 10 000 personnes précédées par des dizaines de tracteurs), cela indique un fort rejet du projet.
A l’heure où le Conseil d’Orientation des Infrastructures (C.O.I.) reporte dans le temps les projets pharaoniques de LGV, à l’heure où de nombreux élus s’aperçoivent que le financement reposera de plus en plus sur leurs collectivités, la voie de la sagesse est à la modernisation des voies existantes sous-utilisées.
C’est en ce sens qu’il a adressé un courrier à Mme. la Première Ministre, E. Borne.
Le CADE remercie les élu.e.s et les citoyen.ne.s qui se sont exprimé.e.s et encourage, ceux qui ne l’ont pas encore fait, à le faire sur le lien suivant.
De nouveaux recomptages seront effectués régulièrement.
La liste des premiers signataires est consultable sur le site du CADE ici.
Texte de l'appel d'Irun
Pétition Alternative LGV
L’appel de AlternativeLGV pour une alternative au GPSO à consulter ici et à signer ici.
Texte de la pétition
«Oui, au Sud de Bordeaux, une alternative à la LGV existe.» A quelques mois de l’élection présidentielle, le projet de ligne à grande vitesse « Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest », GPSO, est reconduit avec une précipitation nouvelle … alors même qu’il avait été solennellement enterré par l’Etat en 2017, suite à la volonté affirmée du président Macron de « prioriser les transports du quotidien plutôt que les grands projets tels que la LGV ». Toujours convaincus par cette priorité à donner aux trains du quotidiens, notre grand défi n’est-il pas désormais de prioriser et proposer rapidement un maillage territorial efficace et équitable, au niveau européen comme au niveau local, qui réponde à l’urgence climatique et écologique et ne laisse personne à quai ? Face à cette urgence, des projets de trains rapides, autres que le GPSO, plus réalistes, beaucoup moins couteux existent. Ils consistent à aménager les lignes Bordeaux-Toulouse (étude SNCF / SETEC – juillet 2015) et Bordeaux-Hendaye (étude CITEC – juillet 2013) et reposent sur la rénovation des lignes existantes, en déficit d’entretien. Ils permettent un maillage équilibré entre nos territoires ruraux et urbains, facilitent le lien avec l’Espagne, et réduisent nos émissions de CO2 et doivent démarrer par l’urgente résorption des bouchons ferroviaires au Sud de Bordeaux et au Nord de Toulouse. Ces solutions alternatives n’ont jamais été prises en compte dans le débat, ce que déplorait déjà la commission d’enquête publique en 2015. Une modernisation des lignes existantes se chiffrerait entre 4,6 et 7,3 milliards d’€, selon les études, en comparaison des 14,3 milliards d’€ du GPSO. Soulignons que la différence du temps de trajet Bordeaux-Toulouse entre cette solution et le GPSO n’est que de 22 minutes, et de seulement, au maximum 6 minutes entre Bordeaux et Dax. Est-il impératif de toujours chercher à gagner quelques minutes de plus, « quoi qu’il en coûte » ? Une seule minute gagnée avec le GPSO a un coût d’environ 166 Millions d’€, ce qui représente la création de 300 lits de CHU, ou encore la construction de 3 lycées. En se focalisant sur l’unique solution TGV, nous avons déjà perdu 20 ans, au moment où nos voisins espagnols avancent et réclament, à juste titre, une connexion dans les meilleurs délais. Nous savons d’ores et déjà que nous ne serons pas au rendez-vous européen avec l’Espagne et ses trains (Y basque Bilbao/Santander/Saint-Sébastien) qui arriveront à la frontière en 2027. Comme approximativement annoncé, le GPSO pourrait arriver à Toulouse en 2030/2032 et à Hendaye … à une date non déterminable. Le Maire de Bilbao et un représentant du gouvernement espagnol, interrogés tout récemment, font état de leur impatience à se relier à des trains arrivant à la frontière le plus tôt possible. A l’instar de nos voisins espagnols, nous préférons un train rapide qui circulera sur les sillons actuels, et respectera des échéances réalistes et raisonnables ! Le GPSO va pénaliser la réalisation du RER métropolitain tant attendu pour répondre aux besoins de mobilités des Girondins, en privant ce projet des milliards d’€ à investir pour les dessertes locales avec, de surcroit, l’instauration d’une fiscalité nouvelle dédiée pesant sur les entreprises ! L’affaiblissement de nos lignes secondaires depuis 30 ans au profit du TGV établit clairement l’impossibilité de mener de front les investissements que nécessite ce réseau vétuste, l’un des plus vieillissants d’Europe, et le déploiement de nouvelles LGV. Et il en va de même de notre fret ferroviaire qui s’est effondré en 20 ans malgré des lignes ferroviaires loin d’être saturées. L’économie de temps et les milliards d’€ engloutis avec le GPSO, dont profiteront quelques métropolitains, doivent-ils s’opérer au détriment du service à offrir à près de 90 % d’usagers empruntant les trains du quotidien ? En effet, sur 10 passagers journaliers de la SNCF, 1 seul d’entre eux emprunte un TGV. De plus, réduire les bouchons polluants de nos villes et nos rocades suppose d’offrir rapidement un train du quotidien attractif à tous ceux qui sont aujourd’hui contraints de prendre leur voiture pour aller travailler. A l’heure où la nécessité de conserver nos derniers espaces de Nature s’est imposée, ce projet, d’un autre temps, contribuera à artificialiser 4 830 ha de zones naturelles agricoles, viticoles, des sites Natura 2000, et, notamment 2 870 ha de forêt, nos meilleures alliées pour lutter contre le dérèglement climatique. On ne peut que comprendre l’indignation des élus et habitants qui verront leurs communes coupées en deux et balafrées par un nouveau sillon ferroviaire. Tous demeurent mobilisés, comme au Pays Basque, contre ces dégâts irréversibles. Il est aussi de notre devoir de renoncer à un développement économique trop concentré autour des métropoles desservies au détriment des villes moyennes et des territoires ruraux seulement traversés. N’est-il pas temps de s’interroger sur la poursuite d’un modèle ferroviaire essoufflé, le « tout TGV » ? Déjà, en 2014, la Cour des Comptes, estimait nécessaire d’évaluer son apport réel pour la collectivité dans un rapport intitulé « La grande vitesse : un modèle porté au-delà de sa pertinence ». La Cour des Comptes Européenne, quant à elle, en 2018, se montrait encore plus critique en écrivant : « la solution alternative, qui consisterait à aménager les lignes conventionnelles existantes, est rarement prise dûment en considération, alors qu’elle pourrait permettre de réaliser des économies non négligeables. La décision de construire des lignes à grande vitesse repose souvent sur des considérations politiques, et l’on a rarement recours à des analyses coûts-avantages pour étayer des décisions présentant un bon rapport coût-efficacité. » C’est ce débat comparant plusieurs solutions ferroviaires, et leurs bilans coûts-avantages, dont nous sommes privés au nom d’un dogme non négociable. C’est pourquoi nous demandons qu’au projet LGV-GPSO soit substitué un projet ferroviaire alternatif, pragmatique, respectueux des enjeux écologiques, des territoires et de leurs habitants : une liaison ferroviaire européenne, rapide, et le plus tôt possible.
Pétition contre les LGV du Sud-Ouest
La pétition contre les LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax, initiée par la mairie Bernos-Beaulac à signer ici.
Plus de 1000 signatures au 1er janvier 2024.
Texte de la pétition
La ligne LGV Bordeaux-Toulouse-Dax telle qu’elle est prévue va défigurer définitivement notre environnement et avoir des conséquences dramatiques pour de nombreux foyers.
Ce projet
ne respecte en rien l être humain
défigurera BERNOS-BEAULAC déjà défiguré par la A65 et le gazoduc
détruira nos maisons et notre patrimoine
détruira des milliers d hectares de forêt
impactera irrémédiablement la hêtraie des gorges du Ciron vieille de 40 000 ans et la biodiversité protégée par NATURA2000
Nous ne pouvons pas laisser faire ce projet alors que d autres solutions sont possibles,
NON à cette LGV décidée par d autres pour le bénéfice d autres
NON aux dommages que les contribuables que nous sommes allons payer et en subir les nuisances
OUI à la rénovation et modernisation des lignes actuelles
Pétition GreenVoice
La pétition GreenVoice contre la LGV Bordeaux-Toulouse : à signer ici.
Au 1er janvier 2024, plus de 5000 signatures atteintes, sur les 6000 requises.
Texte de la pétition
To: Madame Elisabeth Borne, Madame Karima Delli, Monsieur Clément Beaune, Monsieur Christophe Béchu
Non à la LGV Bordeaux Toulouse : une aberration économique, écologique et sociale
Août 2022 : les incendies de l’été ont déjà ravagé des milliers d'hectares de forêts dans les Landes de Gascogne. Le projet LGV Bordeaux - Toulouse - Dax en détruira 6 300 supplémentaires dont des vignobles et de bonnes terres agricoles. Tout cela pour "gagner 30 minutes" entre Bordeaux et Toulouse.
La ligne TGV existe, il suffit de la réaménager, comme le proposent les élus et associations locales ainsi que le dernier rapport du Haut Conseil pour le Climat 2023. L'Europe devait participer à hauteur de 2,4 milliards malgré le lobbying des présidents de régions, il n'a été accordé que 60 millions ventilés entre études et aménagements ferroviaires sud de Bordeaux, nord de Toulouse.
Ce projet endettera les générations futures pour qui ? Pour quoi ?
Le projet LGV Bordeaux - Toulouse - Dax est une aberration tant sur le plan financier qu'écologique et social. Il a été largement refusé par la population lors d'une enquête d'utilité publique le 30 mars 2015. La commission d’enquête publique, à la majorité de ses membres, émet un avis défavorable relatif au projet LGV, 90% des votants ayant voté contre. Madame Borne, alors ministre des transports, avait "enterré" le dossier. Or, en fin de mandature de Monsieur Macron... il réapparaît.
Rappelons l’impact néfaste de ce projet sur les habitants, la biodiversité et le paysage :
- Ce projet détruira 403 propriétés bâties, un cimetière à Roquefort, une station d’épuration, huit sites Natura 2000, 413 espèces animales et végétales dont 197 protégées, la vallée du Ciron (classée exceptionnelle) ainsi que des paysages jusque là intacts.
- 53 millions de m3 de matériaux devront être déplacés soit 2 360 camions par jour pendant 10 ans.
- Une taxe spéciale va être créée pour 3 000 communes TSE soit près de 5 millions d’habitants qui, pour la plupart, ne prendront jamais ce train ! Les villes intermédiaires n’étant même pas desservies, ce projet est réellement déconnecté des besoins de la région.
- Ce projet, estimé à 14 milliards d'€, à ce jour, ne sera pas soutenu par L'Union Européenne. Madame Karima Delli, Présidente de la Commission transports au Parlement Européen ayant déclaré à Lyon le 22 juin 2022 : “Nous n’avons pas retenu le projet de ligne à grande vitesse GPSO. Il nous a semblé que les alternatives fondées sur les lignes existantes permettraient de diminuer fortement l’empreinte environnementale du projet et seraient plus utiles à la mobilité quotidienne des habitants.”
Ce projet permettrait de “gagner du temps” et de développer les territoires. De quoi parle-t-on réellement ?
- D’un un gain de temps minime : Paris - Toulouse sans arrêt : 36 minutes de “gagnées”; avec arrêts à Agen et Montauban : 26 minutes de “gagnées”.
- Par ailleurs, un train qui ne s’arrête pas dans les gares ne peut contribuer à l’aménagement du territoire… Marmande, Langon… Agen est une agglomération qui se développe très bien avec le TGV actuel, et notons que Toulouse est largement desservie par l’avion (qui n’est pas la meilleure solution écologique), le train de nuit remis en service, et le TGV Paris Bordeaux Toulouse.
- Mont de Marsan marginalisée, en 2027 l’Espagne fera circuler des trains jusqu’à la frontière à 250km/h mais sur des voies différentes que celles utilisées en France. Une grande partie des habitants va donc subir les taxes, les destructions, la pollution, les nuisances sans profiter de ce train qui leur passera sous le nez.
La priorité est donc la réhabilitation des lignes existantes, des lignes du quotidien, des trains de nuit et du fret. Ces arguments visant à la rénovation des voies existantes rejoignent ceux de la Cour des Comptes, du Conseil d’analyse économique et social, de la Commission des finances de l’Assemblée Nationale, de la Commission économique du Sénat, des Assisses ferroviaires, du CESE, de dizaines d’élus du Sud-ouest, d’associations (Trans’Cub, Sepanso 33, France Nature Environnement, TGV en Albret, Stop LGV 47, NINA et bien d’autres associations y compris de chasseurs…).
Si tous ces arguments (montages financiers plus que fragiles, taxes imposées aux riverains, destruction de forêts et de paysages) ont convaincu les députés européens de refuser leur soutien, rien n’est gagné.
L'autorité environnementale et le conseil national de la protection de la nature ont émis deux avis défavorables en pointant "des lacunes rédhibitoires" dans les dossiers présentés.
Signons la pétition massivement pour dénoncer ce projet et bloquer ces financements ! Il est important de faire entendre nos voix trop méprisées jusqu’alors, aidez-nous ! Pour que ce projet soit définitivement enterré, il est urgent de se mobiliser.
Nous demandons à Madame Elisabeth Borne, Madame Carole Delga, Monsieur Alain Rousset de travailler en concertation avec la population sur une solution alternative de réhabilitation des lignes existantes.
Soutiens de la pétition : TGV-albret (qui regroupe nombre d’associations), Collectif stop LGV Bordeaux Métropole (pour les transports du quotidien), Association de sauvegarde des Landes de Gascogne, l’ASDLG de Saint Martin de Curton, Stop LGV 47 et NINA.
Appel du rail
L’appel du rail, pour la regénération du réseau ferroviaire (partagé ici en tant que alternative au GPSO) : à signer ici.
Au 1er janvier 2024, plus de 6000 signatures sur les 8000 requises.
Texte de l'appel
En Nouvelle-Aquitaine, comme partout en France, le service public ferroviaire est menacé par l’ouverture à la concurrence ! La crise climatique et la crise économique nous imposent d’investir massivement dans le train ! La privatisation est un danger pour l’avenir du rail français. Avec l’Appel du Rail exigeons que les Régions et l’État cessent de se déresponsabiliser et assument pleinement leur rôle d’organisateur et de protecteur des services publics : 💶 En investissant massivement dans la régénération et le développement du réseau Ferroviaire ♻️ En portant une offre de choc des prix pour permettre aux français de préférer le train à la voiture ⛔️ En abandonnant immédiatement la vente aux enchères de la SNCF à des entreprises privéesDÉCOUVRIR L'ÉTUDE